En naviguant sur le NET , je me suis arrêtée sur ce discours d’un grand chef indien , sioux Lakota du nom de SITTING BULL .( 1831-1890 ) .
Ce discours fût prononcé en 1875 .
Ce discours aurait pu être prononcé au sommet de Copenhague . Vous pourrez remarquer que rien n’a changé quelque soit nos origines , notre pays , les persécutions , le profit , la haine et le racisme sont toujours plus que présents .
La beauté de notre nature , le calme , l’amour de notre terre , de nos ancêtres DISPARAISSENT et les mensonges et manipulations sont omniprésents . Les guerres persistent .
Je vous laisse méditer sur ce discours plein de bon sens et d’humanité de la part d’un homme qu’à l’époque on disait sauvage .
Ceci n’est q’une infime partie de ce discours .
Voyez mes frères, le printemps est venu , la terre a reçue l’étreinte du soleil,
et nous verrons bientôt les fruits de cet amour ! Chaque graine s’éveille et de même chaque animal prend vie .
C’est à ce mystérieux pouvoir que nous devons aussi notre existence , c’est pourquoi nous concédons à nos voisins , même à nos voisins animaux, le même droit qu’à nous d’habiter cette terre .
Pourtant , écoutez-moi, vous tous, nous avons maintenant affaire à une autre race, petite et faible quand nos pères l’on rencontrée pour la première fois , mais aujourd’hui, grande et arrogante .
Assez étrangement , ils ont dans l’idée de cultiver le sol et l’AMOUR de posséder est chez eux une maladie . Ces gens là ont établi beaucoup de règles que les riches peuvent briser mais non les pauvres .
Ils prélèvent des taxes sur les pauvres et les faibles pour entretenir les riches qui gouvernent . Ils revendiquent la terre , notre mère à tous, pour leurs propres usages et ils se barricadent contre les voisins . Ils la défigurent avec leurs constructions et leurs ordures .
Cette nation est pareille à un torrent de neige fondue qui sort de son lit et détruit tout sur son passage .
Nous ne pouvons vivre côte à côte ……….
Il fût tué dans des circonstances assez flou et avec lui le grand espoir du peuple Amérindien .
Un autre discours du chef SEATTLE est tout aussi explicite , juste ces quelques phrases de lui .
Il n’y a pas un endroit paisible dans les villes de l’homme blanc .
L’indien préfère le son doux du vent s’élançant au dessus de la face d’un étang, et l’odeur du vent lui_même lavé par la pluie du midi, ou parfumé par le pin pignon .
L’air est précieux , car toutes choses partagent le même souffle , l’homme, la bête, l’arbre ….
Je vous laisse méditer sur ces pensées venues d’un autre siècle …
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